Money...

Je fais des muffins (cf article précédent), mais je dois aussi trouver un boulot, je n'ai pas la chance de Bree ou Gabrielle lol.

Trouver un boulot, ça implique une question, chercher un job alimentaire ou un "vrai travail"? Peut-on se forcer à faire quelque chose que l'on déteste, jusqu'où peut-on aller? Cherche-t-on un épanouissement, un statut, une situation, une utilité? Une reconnaissance sociale? Avons-nous vraiment encore un choix d'orientation, un mot à dire devant un frigo vide? ou même devant la crainte d'une telle situation?

Alors, voilà le problème de bon nombre de mes contemporains...Génération, 20-30 ans, baccalauréat, études supérieures plus ou moins abouties, et cette question apparaît. Bon, après on s'étonne que notre génération soit un peu fataliste. Je me souviens des rendez vous chez la conseillère d'orientation, tout semblait "bouché". Déjà, ça aurait du me mettre la puce à l'oreille... L'ascenseur social n'est peut être pas bloqué, mais il semble avoir une très faible capacité....lol.

En tout cas, la chose la plus incroyable, c'est que même en ayant intégré ces données je parviens à rester très optimiste .C'est peut être juste la jeunesse ou l'inconscience, mais c'est très bien comme ça. Donc je vais faire comme tout le monde m'investir dans une vrai recherche et dans un même temps je ne vais pas attendre une "situation de frigo vide" (ou de "dressing démodé" lol) pour accepter "provisoirement" un boulot qui ne correspond pas à mon profil.

Ah, si le monde pouvait être une publicité Versace, job de rêve, fringues de rêves, et brushing impeccable.lol